NOTRE HISTOIRE
Les dates qui ont fait l’histoire de QUALIBAT

1949 : Création de l’OPQCB, qui deviendra QUALIBAT 45 ans plus tard
Naissance de l’Organisme Professionnel de Qualification et de Classification du Bâtiment. Sous la forme d’une Association loi 1901 hébergée dans les locaux de la Fédération du Bâtiment à Paris. Déjà dans « un esprit d’équité et d’impartialité absolues ».
1955 : Conception du premier annuaire général des entreprises qualifiées
La nomenclature de l’organisme s’enrichit de nouvelles qualifications et c’est à cette date qu’apparaît le système de garantie décennale toujours en vigueur aujourd’hui.
1977 : Adoption du principe de révision approfondie
Le conseil d’administration de l’OPQCB rejoint le point de vue de l’administration sur la nécessité, à période régulière, de revalider la qualification des entreprises. À intervalle de 5 ans, contre 4 aujourd'hui.
1987 : La pyramide bleue s’installe dans notre paysage
Ce signe distinctif, adopté par l’organisme en tant que logotype, a été créé par un dessinateur de Saint-Etienne. Son graphisme a évolué avec le temps, mais la pyramide bleue sert toujours d’identité visuelle à QUALIBAT.
1990 : La raison sociale de l’organisme évolue une première fois
On parle désormais de l’OPQCB - QUALITÉ BÂTIMENT. C’est à cette période qu’il est décidé de créer des sections interdépartementales ou régionales avec des bureaux décentralisés pour être au plus proches des entreprises.

1994 : Naissance de la marque QUALIBAT telle qu’on la connaît aujourd’hui
Il y a tout juste trois décennies, une nouvelle raison sociale est adoptée. QUALIBAT est la contraction de qualité et de bâtiment. Pour valoriser le savoir-faire des entreprises qui travaillent bien, il n’y a pas plus explicite.
1996 : Naissance de certifications pour le retrait de l’amiante
Les pouvoirs publics prennent à bras-le-corps les problématiques causées par l’amiante. Une nouvelle activité se rapportant à la décontamination marque la création d’une nouvelle qualification qui entraînera l’arrivée des premières certifications métiers.
1998 : De nouveaux critères entrent dans la procédure de qualification
Pour se voir attribuer une qualification, les entreprises ne sont plus seulement jugées sur des critères techniques et humains. Leur situation fiscale et sociale, comme l’existence et la validité de leurs assurances, sont contrôlées annuellement à l’occasion de l’établissement de leur certificat.
2003 : Création de CERTIBAT qui en quelques années passe de filiale à département de QUALIBAT
Son rôle est de répondre aux besoins de certification par tierce partie des systèmes de management, produits et services de l’ensemble des acteurs de la filière construction.
2005 : QUALIBAT se sépare de la FFB pour toujours plus d’impartialité
Une recomposition de l’association est décidée. L’organisme dispose de ses propres moyens, avec des commissions départementales et nationales chargées de statuer sur les dossiers des demandeurs désormais indépendantes de toute organisation professionnelle.
2008 : Le contrôle de QUALIBAT est confié au COFRAC
Le fonctionnement de QUALIBAT est désormais sous accréditation du COFRAC, le seul organisme en France habilité à délivrer des accréditations. Cela apporte une dimension supplémentaire de confiance à toute la filière du bâtiment.
2008 : Entrée dans l’ère de la performance énergétique
À partir de cette année charnière, l’action de l’organisme suit les nouvelles orientations des pouvoirs publics. Une mention « Économie d’énergie » et une certification rénovation énergétique sont créées.
2010 : QUALIBAT complète sa nomenclature de deux nouvelles familles
On passe ainsi de 7 à 9 familles fonctionnelles de travaux. La huitième est dédiée à la performance énergétique des bâtiments. QUALIBAT gère notamment les marques Eco Artisan® de la CAPEB et Pros de la Performance énergétique® de la FFB, intégrées à la nomenclature des activités en 2014.
2011 : Signature de la charte relative au Grenelle de l’Environnement
C’est cette charte qui définit les exigences que doivent satisfaire les entreprises souhaitant obtenir un signe de qualité dans le domaine des travaux concourant à la performance énergétique et des installations en énergies renouvelables.
2014 : Promotion du dispositif RGE nécessaire aux aides publiques
L’État s’engage à n’admettre comme éligibles au crédit d’impôt développement durable et à l’éco-prêt à taux zéro, les seuls travaux réalisés par des entreprises titulaires d’un sigle de qualité RGE « Reconnu Grenelle Environnement » qui devient « Reconnu Garant de l’Environnement ».
2024 : L’accréditation COFRAC est remplacée par un agrément ministériel
L'ensemble des organismes de qualification ne sont plus accrédités par le COFRAC pour l’activité RGE seulement, mais directement par le Ministère de la Transition écologique. Cela n’a aucune incidence sur la validité des qualifications, l’accès aux aides financières ou l’usage des marques QUALIBAT et QUALIBAT RGE.